Pokemon Go proceed de faire parler de lui trois semaines après sa sortie. Il faut dire que la France ne fait pas encore partie des pays où le jeu est disponible. D’ailleurs, l’attente a été tellement longue que la sortie officielle pourrait bien être gâchée par une panne. C’est en tout cas ce que craignent les followers.
Toujours pas ! On y a cru hier lorsque l’info de l’arrivée de Pokemon Go en France est tombée. Finalement, ce ne sera pas le cas. Nos confrères promettaient l’arrivée de Pokemon Go sur Android et iOS en même temps qu’au Japon, soit hier vers 17h. Une info qui aurait été confirmée par l’agence de communication de l’software. Hélas, cette dernière a démentie, seuls les japonais ont été servis.
Comme en France, l’attente a été longue au Japon et le succès de l’software est tel que d’importants problèmes methods ont été observés dans le pays, comme c’était le cas aux Etats-Unis lors de sa sortie. La frénésie autour de ce jeu est telle que les followers craignent également un saturation des serveurs en France lorsque la model officielle débarquera.
A priori, selon l’agence de communication de l’software (et cette fois c’est sûr) Pokemon Go débarquera sur Android et iOS avant la fin de la semaine donc aujourd’hui, demain ou dimanche voire lundi. Le problème, c’est que le phénomène est tel que les téléchargements trop nombreux pourraient tout faire sauter.
Pokémon Go : déjà des pannes et des ralentissements
Pokemon Go est sans aucun doute LE phénomène de cette année. Le jeu enregistre déjà 15 à 20 hundreds of thousands d’utilisateurs rien qu’aux Etats-Unis. Ce chiffre pourrait considérablement grimper dans les heures à venir au niveau mondial. Selon certaines estimations il génèrerait plus d’argent à lui seul que tous les autres jeux cellular réunis. Dans les pays où le jeu est déjà disponible on assiste à des scènes complètement incroyables.
Aux Etats-Unis par exemple, on a vu les abords de Central Park complètement bouchés à cause de joueurs qui voulaient absolument capturer un Pokemon uncommon dans le parc. Des mouvements de foule incroyables ont été observés aux quatre cash du globe.
Et il semble que Niantic n’ait pas prévu un tel succès. Qui aurait pu prédire une telle selected ? Ainsi, un peu partout des pannes ont été observées. Automotive Pokemon Go repose sur un système de géolocalisation et de cartographie. Il exige donc d’être connecté en permanence aux serveurs.
Nous avons nous-même observé des ralentissements voire l’impossibilité de jouer à certaines heures lors de notre test de Pokemon Go. Pendant midi, on constate quelques ralentissements, mais en fin de journée, c’est un véritable carnage. Les serveurs ne semblent pas suivre la cadence. Et pour le second, la France n’est pas servie.
Combinez l’engouement et l’attente et vous obtenez un risque énorme de panne dès lors que le jeu sera officiel sur Android et iOS. Si les serveurs de Google et Apple tiendront allègrement le rythme, Niantic ne semble pas prêt de son côté.
En témoigne la dernière mise à jour de Pokemon Go là où le jeu est disponible. C’est bien easy, lors de la dernière mise à jour, les serveurs ont complètement lâché. Conséquence, un bug a empêché les dresseurs de jouer hier, jeudi.
Risque de piratage
Si Niantic n’a pas communiqué sur les raisons de ces pannes, certains hackers ont revendiqué la toute première panne. Le groupe PoodleCorp, auteur présumé de ce piratage, a ainsi promis de détruire purement et simplement Pokemon Go. On ne connaît pas précisément les motivations du groupe mais les intentions sont claires.
Cette semaine, ils ont annoncé que le 1er août il rendrait le jeu Pokemon Go complètement inaccessible pendant au moins 24h. Une menace à prendre au sérieux puisqu’un autre groupe, baptisé Ourmine a également attaqué le jeu. Il a de son côté affiché sans complexe ses motivations : « attirer l’consideration des concepteurs sur les factors faibles » du jeu.
Dans tous les cas de determine, le problème semble bien venir des serveurs. Qu’il s’agisse de piratage ou de forte affluence, il semble bien que ce soit la faiblesse de l’software. En plus de sa consommation impressionnante d’énergie. Mais c’est un autre problème.