Remark provoquer les foudres de Microsoft ? C’est très easy : il suffit d’arriver à activer des copies illégales de plusieurs variations de Home windows, à partir d’un seul et même ordinateur. Le développeur a en effet lancé une motion en justice pour stopper un tel piratage de masse.
Les systèmes d’exploitation deviennent tour à tour tous gratuits, et pour trigger : l’économie d’web et du high-tech ne se joue plus désormais sur un modèle d’achat distinctive mais bien plus sur l’abonnement et le service, sur lesquels Microsoft a mis tous ses pions désormais.
C’est pourquoi, après un Home windows 7 plébiscité par les utilisateurs et une model eight au contraire décriée, Microsoft a décidé de rendre Windows 10 gratuit et plutôt se concentrer sur l’univers applicatif notamment grâce à sa suite Workplace disponible désormais sur le net.
Pourtant, les variations 7, eight et eight.1 continuent de vivre… Surtout auprès des hackers. En effet, Microsoft vient de lancer une motion en justice aux Etats-Unis, après s’être rendu compte que plus de mille activations illégales de Home windows Vista, 7 et eight se faisaient à partir d’une seule et même adresse IP.
Ce n’est pas pour autant limité à son système d’exploitation, puisque des suites Workplace seraient également de la partie après que le développeur ait subi des vols de clés sur sa chaîne d’approvisionnement.
Malgré le passage à la gratuité pour la majeure partie des utilisateurs, le piratage reste très présent sur la scène informatique. C’est pourquoi le développeur pousse toujours un peu plus ses utilisateurs à passer à Windows 10, quitte à le forcer puisqu’elle reste la model la plus sécurisée (pour lui) en date.
Pour autant, cette dernière model n’est pas dénuée de qualités et sa prochaine mise à jour promet également d’apporter de nombreuses améliorations. Home windows 10 n’étant encore installé que sur 28% environ des appareils aux Etats-Unis, il n’est pas encore temps de laisser tranquille les pirates comme ceux résistants au changement.